Marketing Digital : 7 questions à se poser avant de lancer son entreprise

Tu seras entrepreneuse ma fille!

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    Cela fait quelques temps que j’avais envie d’écrire un article sur les femmes et l’entrepreneuriat.
    Les portraits des femmes influentes dans le carnet régional Montpelliérain de Elle, ainsi qu’une soirée papotage entre filles me donne enfin cet élan.

    C’est un état de fait, seulement 30% des entreprises en France sont dirigées par des femmes, alors même qu’aux Etats Unis, ou en Suisse, l’équilibre est presque là….

    Pourquoi la France est-elle en retard concernant la place des femmes dans la vie économique d’une manière générale, et particulièrement dans l’entrepreneuriat ?

    Je ne pense pas que les femmes soient par « nature » moins ambitieuses que les hommes, ou moins confiantes en leurs capacités.
    La réussite est une valeur personnelle à chacun d’entre nous et l’ambition n’est pas une valeur fondamentale. On peut choisir une vie professionnelle sans envie d’évolution particulière, que l’on soit un homme ou une femme.

    Je ne vais rien vous apprendre, mais le caractère et le tempérament de chacun dépend de l’ensemble de l’environnement économique, social et familial. Ce sont ces éléments qui conditionnent les hommes et les femmes que nous sommes.

    enfant jouet

    Les femmes, depuis leur plus jeune âge, font de la danse, jouent à la dînette et sont éduquées dans l’optique de savoir tenir une maison. Les garçons sont pour leur part, mis sur une moto dès qu’ils sont capable de tenir debout, jouent «à la guerre » et aux voitures…

    Je sais bien que je grossis (volontairement) le trait, mais je n’illustre là qu’une réalité criante pour la majorité des familles (et les jouets présents dans les magasins à l’approche de Noël me donnent raison).

     

    Alors comment s’étonner que les femmes ont une plus grande aversion au risque et une culpabilité plus forte à faire carrière ?

    Pour augmenter la place des femmes dans la vie économique, le « combat » doit commencer dans les foyers, et au plus vite ! Il est de la responsabilité de toutes les mères et de tous les pères, de donner à leurs filles toutes les chances de devenir les femmes leaders et entrepreneuses qui feront le monde de demain.

    Je me dois d’illustrer mes propos en prenant en exemple une très bonne amie à moi. BAC+8, belle et talentueuse, qui remet quotidiennement en cause sa profession « prenante », culpabilisant de ne pas être assez présente pour sa fille. Et pourtant, son conjoint, qui n’est au demeurant pas du tout le stéréotype du macho qui attend que sa femme reste à la maison, ne se pose pour sa part pas du tout la question, et envisage au contraire, de se lancer à son compte.

    Si l’on regarde cette situation, il faut bien avouer que ce n’est pas un cas isolé et qu’elle représente  toujours une réalité dans bien des foyers « modernes ». Et pour moi, l’éducation familiale est la cause de tout…
    La mère de mon amie est ce que l’on appelle une « parfaite femme d’intérieur » : maison impeccable, linge toujours repassé (si si, même les chaussettes !) et a toujours été présente à la sortie de l’école. Mon amie a été élevée avec ce modèle, et est, de ce fait, elle aussi victime d’une passion pour les produits ménagers….
    Et malheureusement, le schéma familial continue de s’étendre….Sa petite fille, de 3 ans est accroc à l’éponge et refuse de mettre des bavoirs tachés….

    Ne vous méprenez pas, je ne suis pas contre la propreté, mais je pense qu’être esclave de sa maison est rarement compatible avec des responsabilités et des évolutions professionnelles. Je pense qu’en amont de la question des femmes dans la vie économique, se présente la prise de conscience de l’éducation des filles. La femme, pour devenir l’égale de l’homme,  doit d’abord accepter de remettre en question le modèle éducatif reçu, et qu’elles transmettent elle-même parfois à leurs enfants à leur insu.

    Cette prise de conscience est pour moi primordiale, afin de permettre à nos filles demain, d’envisager l’entrepreneuriat et l’ambition professionnelle comme une voie normale, et pas comme un sacrifice personnel… Un peu comme le font les hommes, sans se poser ce genre de dilemme.

    Une société avec plus de femmes à des postes décisionnel implique naturellement une meilleure répartition des taches, et une évolution de nos rapports hommes/ femmes.

    J’ai vécu et travaillé pendant un an au Québec, où j’ai pu apercevoir de grandes différences culturelles avec la France, notamment dans les relations entre les hommes et les femmes.
    Si en France on prend pour acte de galanterie le fait qu’un homme règle l’addition au restaurant, les femmes Québécoise voient cet acte d’un mauvais œil, le considérant comme un acte de soumission. Pourquoi la femme devrait-elle se faire offrir le repas, alors qu’elle est socialement et économiquement à la même place que l’homme ?

    A l’heure les Françaises, dans leur grande majorité, pensent que l’homme parfait est galant, il reste du pain sur la planche pour que les femmes soient, dans les décennies à venir, les égales des hommes dans la vie professionnelles.

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